Tictac, Tictac...
Tictac Tictac
nos pas sonnent minuit
mais que sonnent nos cœurs
dans ce monde terrible
où seule la guerre luit.
Ô amour, ô amitié des peuples
quand donc ton heure sonnera ?
J’écoute du monde l’horloge
qui bat, qui bat, qui bat
la chamade mais ce n’est pas
une sonate d’amour et de paix
qui sonne, sonne, sonne.
Ô mon oreiller donne moi
ce beau rêve d’aimer
et d’être aimer
et qu’entre les peuples
naisse une belle amitié
qui sonne, sonne, sonne.