De Toulouse à Toulouse, voyage en Occitanie (suite 4)
Le lendemain nouvelle balade en vélo avec un temps toujours venteux et très gris. Je reprends à peu près la même route et file à nouveau vers la mer mais sans passer par Gruissan. Je file directement à Narbonne plage.
Toujours plein de branches et de tronc accumulés sur cette plage.
La mer est très formée et assez agitée.
Et même les goélands se font bousculer par les rafales de vent.
Cela ressemble malgré tout à un jeu pour eux. Et que je m'envole et que j'atterris. "Pas cap' de me suivre !" semble-t-il dire à leurs compagnons. C'est comme un défi qu'ils se lancent à chaque fois qu'ils décollent.
Ils planent ainsi au dessus des vagues.
Rasant si près l'écume qu'on a presque peur pour eux.
Mais au final, ils passent toujours au dessus de la vague en lui criant une moquerie et la mer s'énerve en vain.
Après avoir longé toute la plage je suis arrivé sur une zone plus rocheuse plus près du port. L'horizon est vraiment barré et se noie dans le ciel.
à suivre...